Les visages du CEPSUM : François Bertrand

Directeur général adjoint et directeur de la formation et de la recherche de Polytechnique Montréal

Un assidu du sport

En 1993, alors associé de recherche au Département de génie chimique de Polytechnique Montréal, François Bertrand débute une longue histoire d’amour avec le CEPSUM. Son sport de prédilection ? La natation. Piscines ou eaux libres, peu importe, l’important, c’est de bouger.

Fidèle à ses habitudes, celui qui se définit comme professeur de génie chimique d’abord et avant tout, fréquente la piscine du CEPSUM à raison de trois à quatre fois par semaine depuis bientôt trente ans !

Aujourd’hui directeur général adjoint et directeur de la formation et de la recherche de Polytechnique Montréal, M. Bertrand valorise la maxime « un esprit sain dans un corps sain ». Comment traduit-il celle-ci au quotidien ? En menant une vie équilibrée entre le travail et les loisirs – incluant l’activité physique.

François prend d’ailleurs le temps d’organiser son horaire afin de bouger. Les jours où il s’entraine, celui-ci débutera sa journée de travail un peu plus tôt le matin et prendra un peu moins de temps pour diner. Au final, si c’est planifié, trouver une heure dans la journée pour aller nager n’est pas si complexe !

Pourquoi faire ces pirouettes avec son horaire ?

« Tout simplement parce que faire du sport, c’est payant ! Ça me permet de déstresser et d’être plus performant et productif par la suite ! » – François Bertrand

Il révèle d’ailleurs avoir parfois trouvé solution à certains défis d’ordre professionnel grâce aux moments méditatifs générés lors des séances de sport.

Pourquoi le CEPSUM ?

On pourrait penser que la proximité avec son lieu de travail explique pourquoi François fréquente le CEPSUM. Cependant, le nageur apprécie l’endroit à un point tel que même pendant la pandémie – alors qu’il travaillait de la maison, à une vingtaine de kilomètres du lieu – il n’hésitait pas à se déplacer pour effectuer ses brasses en fin de journée.

Celui qui préfère bouger en solo explique que l’endroit est non seulement devenu son deuxième chez-soi, mais qu’il représente aussi un lieu de socialisation.

« Le CEPSUM est un lieu de rencontre ! J’aime y croiser des collègues et des étudiants. À force d’y aller, je connais même les employés. Rendu dans l’eau, je suis seul avec moi-même, mais avant et après, je socialise ! »

Habitudes chamboulées

Comme pour tout le reste, la pandémie a bouleversé la routine de François Bertrand. Celui-ci a cependant gardé le cap sur ses entrainements en réservant son couloir de nage au moyen de la plateforme en ligne offerte par le CEPSUM.

« Le système de réservation pour les couloirs de natation c’est génial ! La plateforme est vraiment bien faite. Les lieux sont impeccables au niveau des mesures sanitaires. Tout est propre et bien indiqué. »

Et au gré des ouvertures et fermetures entourant son lieu de prédilection pour l’entrainement, il s’ajuste et explore la course à pied !

« Avec mon voisin, on se taquine et on planifie s’inscrire dans un demi-marathon ensemble au printemps. »

Impatient – comme plusieurs – de pouvoir retrouver son CEPSUM tel qu’auparavant, M. Bertrand prend soin de garder l’activité physique au menu plusieurs fois par semaine. Inspirant !